Après les restrictions liées à la crise sanitaire du Covid, les hôteliers, cafetiers, restaurateurs, traiteurs, exploitants d’établissements de nuit se sont révélés, à tous, comme essentiels à la vie culturelle et sociale de la société française et comme acteurs incontournables de l’économie française.
Aujourd’hui, leur priorité est de trouver le juste équilibre, entre l’investissement indispensable et le remboursement des prêts contractés pendant la crise, entre la satisfaction des nouvelles exigences de la clientèle, de leurs collaborateurs et la création de valeur ajoutée pour assurer la pérennité de leurs entreprises.
A cela s’ajoute, le conflit aux portes de l’Europe qui vient ébranler l’environnement économique et international, la circulation des personnes, la hausse des matières premières et de l’énergie.
C’est dans ce contexte, que l’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie (UMIH) et le Groupement des Chaînes Hôtelières (GNC) souhaitent contribuer aux débats des futures élections présidentielles et législatives par un ensemble de propositions pour dynamiser et oxygéner les entreprises du tourisme et de l’hôtellerie-restauration.
L’objectif de ces propositions est d’inscrire le tourisme comme priorité de l’économie française, de contribuer au renouvellement de l’offre et d’accompagner les transitions, numériques et environnementales. Ces propositions s’articulent autour de 5 axes qui visent à :
- Redynamiser l’industrie touristique et l’inscrire comme priorité de l’économie française
- Renouveler et adapter l’offre existante aux touristes de demain
- Oxygéner nos entreprises
- Recruter responsable : attirer, former et fidéliser
- Soutenir les entreprises dans leur transition développement durable et leur transition numérique
Parmi l’ensemble des propositions, l’UMIH défend notamment le thème de la ruralité avec le maintien du tissu économique des cafés-hôtels-restaurants – discothèques dans les zones rurales.